Urgence – Consommer local

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Acheter des produits issus et fabriqués au plus près de chez vous

La suppression des frontières pour les biens de consommation a été depuis l’année 2000 en plein boom avec l’Europe économique et la nouvelle monnaie commune l’Euro. Depuis cette date, de nombreux accords  internationaux de libre-échange ont été signés par l’Union Européenne, souvent contre l’opinion de sa population : TAFTA (Etats-Unis), CETA (Canada),  JEFTA (Japon), …

L’objectif initial de l’Union Européenne en tant que territoire de paix et pour la liberté de mouvement des personnes dans l’Union, aura doucement glissé vers un ultra-libéralisme économique et à l’encontre total de la question environnementale. Si bien qu’aujourd’hui, l’Union Européenne semble gouvernée uniquement par un intérêt lobbyiste privé et de non décision, qui vont à l’encontre des opinions justes de sa population et de la sauvegarde de l’environnement. A cette non décision naissent les extrêmes, face à l’exode des entreprises vers les années 2000 vers les pays à faibles coûts de main d’œuvre, une hausse du chômage, une hausse des charges sociales, une immigration illégale où l’Europe regarde les migrants se noyer en Méditerranée (ces migrants auront été pillés par les passeurs, utilisés comme esclaves avant leur départ, dépossédés de leurs papiers et envoyés vers une destination leur promettant la (l’in)fortune sur des bateaux prêts à couler). Ces décisionnaires n’aident pas leur population dans une réussite de long terme, préférant la discrétion et la réélection, et n’aident pas, à la source, les migrants partant vers une destination inconnue et qui sont dépouillés de leurs économies. L’Union Européenne est en quelque sorte complice de cette “mafia” de l’immigration.

Malheureusement, cette obstination de libéralisme et de capitalisme amène le mauvais nationalisme, amenant à détester une autre nationalité, amalgamant aussi, les couleurs. La population de l’Union est déjà au bout de 18 années de monnaie commune en train de se fractionner (Angleterre, Italie, Autriche, Grèce, …) au lieu de coopérer et de tirer le meilleur de chacun. Consommer local est la solution à l’extrémisme montant. L’ouverture d’esprit et la discussion font partie de cette solution à la Démocratie intelligente. Le consommateur a ce pouvoir de consommer local, pour l’emploi, contre l’extrémisme et pour la protection de l’environnement. C’est un acte politique.

LES OBJECTIFS PRINCIPAUX DE RESTRICTION

  • Ne jamais acheter de nourriture (ou cosmétiques) contenant de l’huile de palme telles que les marques Ferrero / Nutella / Kinder.
  • Interdire 80% des produits importés à plus de 1500 km du lieu d’utilisation.

LES OBJECTIFS PRINCIPAUX DE DÉVELOPPEMENT

  • 80% des produits à la vente doivent être des produits locaux produits à moins de 1500 km du lieu de consommation. Un produit importé devra avoir un prix de +20% par rapport au produit local équivalent.
  • Acheter seulement ce qui vous est absolument nécessaire et essentiel en étant minimaliste. Une nouvelle voiture, une télévision ou un smartphone tous les 2 ans ne sont vraiment pas nécessaire.
  • Acheter vos meubles ou vos fenêtres avec des essences locales (pas d’exotiques venant des forêts tropicales) et avec une qualité durable (revendable en occasion).
  • Les fruits et légumes : Consommer des produits de saison cultivés près de chez vous en magasins BIO ou à la cueillette.
  • Acheter des vêtements de qualité qui sont faits pour durer plusieurs années.

LE CONSTAT

Libre-échange économique = destruction de l’environnement

Qu’est-ce que le libre-échange économique ? C’est un traité international favorisant l’échange de biens entre deux grandes zones économiques (par exemple le Canada et l’Union Européenne) en allégeant les droits de douane, en diminuant les contrôles douaniers et en supprimant certaines règles nationales pouvant gêner l’importation du bien. L’objectif est que les biens, les services, la main d’œuvre et enfin les capitaux circulent avec facilité. Ses signataires s’engagent alors à promouvoir les principes de l’économie de marché et à rejeter le protectionnisme. Ces zones souvent éloignées d’au moins 10 000 Km sont source de pollution extrême car les normes avec lesquelles les produits sont fabriqués peuvent être inférieures à celles locales. Le transport des marchandises par bateau ou par avion est extrêmement polluant à cause des particules libéréesen haute altitude (pour le kérosène de l’avion) ou du fioul lourd (chargé en soufre) des bâteaux supertankers. Le CETA est le dernier traité entré en application provisoire depuis le 21 septembre 2017. Cette application provisoire signifie que l’Union Européenne a donné son feu vert à l’encontre des pays de l’UE ayant refusé cet accord, et à l’encontre de l’opinion de la population européenne. Cet accord prévoit la suppression de 98% des droits de douane sur les produits, ce qui augmentera encore un peu plus les transports intercontinentaux.

Plusieurs raisons font que le libre-échange est une catastrophe écologique :

 

  • L’augmentation du trafic maritime : Pollution par les eaux de ballaste (rejetant des espèces marines ou terrestres d’un continent à l’autre) et par le fioul lourd (chargé en soufre);
  • L’augmentation du trafic du fret aérien : Pollution par la combustion du kérosène en haute altitude produisant notamment des gaz à effet de serre (CO2, H2O);
  • Certains produits peuvent avoir des méthodes de fabrication très polluantes et ne correspondant pas aux normes du pays acheteur;
  • L’emploi local peut subir une concurrence déloyale par un coût social bien inférieur chez le pays vendeur, le prix de vente du produit pouvant se retrouver très inférieur

L’exemple des pays asiatiques

 

L’ouverture des frontières et l’économie de marché avec des droits de douanes restreints, répondent aux règles de l’offre et de la demande régulée par les entreprises privées. Mais ces théories économiques mises en pratique auront totalement déréglé l’équilibre local et global.

A une vitesse extrêmement importante, presque tous les fabricants du textile ont déménagé les machines-outils des ateliers français pour les expédier dans de nouvelles usines en Asie. Le seul changement pour le dirigeant est que ses employés ont un coût très inférieur. Par exemple, le coût d’un salarié en 2018 en France est d’au minimum 20’316 euros annuels pour une entreprise. En Chine, il est de 2’250 euros annuels, en Inde de 943 euros annuels et au Bangladesh de 798 euros annuels. Au sein de l’Union Européenne, il existe aussi une grande disparité. Le Made in European Union peut être réalisé avec un coût de main d’oeuvre de 6’000 euros annuels en Pologne.

Ce besoin de payer un produit moins cher est donc une très mauvaise idée s’il est fabriqué hors du pays d’utilisation. Car cela amène les entreprises à délocaliser, à supprimer des emplois localement; le nombre de personnes ayant droit à des aides (allocations chômage ou autres allocations d’aides) augmente. Cette charge complémentaire est donc supportée par le reste des entreprises et des employés restants, ce qui amène au final à augmenter le coût du travail localement… et donc de rendre les entreprises locales encore moins compétitives. Alors les entreprises délocalisent encore… et la pollution augmente par les transports de marchandises qui viennent de toujours plus loin.

Cet engrenage peut être enrayé par l’achat local ! Chacun en est responsable !

 

Ci-dessous un graphique montrant l’augmentation du coût social en Europe entre 2000 et 2013 :

Graphique de l'augmentation du coût du travail en Europe entre 2000 et 2013

En réalité, les délocalisations existent depuis plus d’un siècle, mais elles étaient assez rares et plutôt dans des pays proches. Les accords internationaux ayant commencé officiellement avec le GATT en 1947, devenu l’OMC en 1995. L’amélioration des transports en temps et en coût a permis, vraiment depuis les années 1970, à accélérer le mouvement en principal dans le textile où de nombreuses collections sortent annuellement et où il est nécessaire de produire beaucoup. Si les produits ne se vendent pas, alors ils sont détruits en limitant les pertes grâce au faible coût de fabrication.

La pollution sur les écosystèmes

La surproduction

Le modèle marketing d’aujourd’hui est irraisonné. C’est-à-dire qu’il faut que le consommateur doive acheter le plus souvent possible un nouveau t-shirt, une nouvelle voiture ou un nouvel équipement. Les marques font le maximum pour proposer de nouveaux modèles avant que le concurrent ne le fasse. C’est une course pour essayer d’être toujours dans la lumière de l’acheteur. Ce modèle pousse à la surconsommation de produits qui ne sont pas indispensables à la survie de la personne… pourquoi acheter 10 t-shirts par an s’ils ne sont pas chers et de mauvaise qualité ? Le marketing et les publicités sont si bien faits qu’ils poussent les gens à acheter. Les soldes sont aussi un vrai problème. Pourquoi ne pas vendre tout le temps un produit de qualité durable au même prix ? Les entreprises fabriquent pour détruire les invendus. Les centres commerciaux et les magasins doivent avoir en permanence leurs rayonnages plein de produits. Mais comme une collection ou un modèle ne dure pas, les invendus sont détruits. Tout le cycle de production aura donc été inutile pour ces produits.

L’obsolescence programmée

Pour garantir un travail régulier et un chiffre d’affaires constant, l’entreprise est souvent tentée d’introduire une notion d’obsolescence programmée à ses produits. Cette obsolescence peut être programmée par l’électronique intégré à l’appareil (ex : une imprimante), l’appareil aura alors une performance moindre au bout de 5 ans. Ou dès sa conception, l’entreprise choisira des composants électroniques ou des plastiques de moindre qualité, sans que son image de marque puisse être écornée par une obsolescence trop rapide ou grossière. Une entreprise a, par principe, aucun intérêt pour son business à proposer des produits durables. Le faire serait prendre un risque pour sa survie. L’environnement a pourtant, lu,i tout intérêt à ce que soient fabriqués des produits durables, simples, fiables, efficaces et respectueux de l’environnement.

Les transports

Cette nouvelle donne dans le commerce a créé des extrêmes entre le point de consommation et le point de fabrication. Entre le produit jetable et le produit durable. Ces extrêmes ont donc une influence négative par l’augmentation sans cesse des navires de marchandises et du fret aérien. La pollution atmosphérique par le CO2 est extrêmement préoccupante. La température globale sur la planète augmente d’année en année et sans ralentissement. Certains trouveront que cela a du bon pour le commerce, car en été, la glace arctique fond maintenant presque totalement et permet le passage des navires de l’Asie vers l’Europe plus rapidement. Cette mer encore vierge de pollution est sur le point de perdre son équilibre environnemental.

La vente de fruits et légumes des grandes surfaces

Les grandes surfaces sont toujours au cœur de la pollution. L’obsession de leurs centrales d’achat étant le prix, peu importe d’où cela provient, dans quelles conditions de production et à quelle distance de transport. L’exemple flagrant est E. Leclerc qui vend des pommes BIO de Nouvelle-Zélande et d’Argentine. Quel intérêt pour le consommateur d’acheter ces pommes de l’autre bout du monde alors qu’en France, il existe énormément de producteurs ? Pourquoi la centrale d’achats, et les employés qui y travaillent, acceptent de cautionner ce non-sens de vendre un produit biologique (sans traitements chimiques) alors qu’il polluera à cause de son transport ? Pourquoi un dirigeant aussi brillant intellectuellement que Michel-Edouard Leclerc autorise cela ?

LES SOLUTIONS

Supprimer le maximum de transports intercontinentaux

 

Acheter local = intelligence économique et environnementale. Nourriture, meubles, équipements ou voitures. L’objectif de l’achat local est de supprimer le maximum de ces transporteurs de masse. Masse de biens de consommations, produits ou nourritures. Ce qui fait que cet excès existe est la surconsommation ou la mauvaise consommation. Acheter bien, acheter juste, acheter local. Pour réduire significativement la pollution, faites autant que possible vos courses à vélo ou à pied ! Le transport des marchandises est responsable du déplacement d’espèces invasives et de la pollution atmosphérique. Plus votre produit sera acheté localement, meilleur il sera pour la planète !

Acheter d’occasion

 

Le marché d’occasion est très répandu de nos jours ! L’achat neuf est souvent discutable alors qu’il existe de nombreux meubles d’occasion de très bonne qualité. Il existe des sites web comme « leboncoin » ou « mymobilier » qui vendent de nombreux produits pas chers ! Si vous souhaitez les rénover, contactez un menuisier ou allez dans un atelier participatif tel que « l’atelier des bricoleurs » ou « au bonheur du bois« . De nombreux ateliers participatifs fleurissent partout en France. L’idée est aussi de conserver au mieux vos biens en y prenant grand soin ! Il doit durer au maximum, et plus il sera en bon état, mieux il sera vendu ! Tout s’achète d’occasion : les appareils ménagers, les vélos, les téléphones portables, les vêtements pour enfant, … L’important à la base, c’est d’acheter un produit neuf de très bonne qualité ! Il durera pour vous ou pour quelqu’un d’autre pendant au moins plusieurs décennies !

Faire les marchés de producteurs

 

Pour acheter vos fruits et légumes, il faut savoir une chose : EVITEZ LES CENTRES COMMERCIAUX. Vous devez donc aller dans les magasins bio comme Biocoop, La Vie Claire, AzurBio, Naturalia, etc. Ils proposeront des produits de saison ! Faire attention aux fruits exotiques qui proviennent de lieux lointains tels que les Ananas, les mangues ou les bananes. La règle d’or est de ne pas acheter de produits provenant de plus de 2’000 Km. Ça laisse beaucoup de choix avec l’Espagne et l’Italie qui sont très ensoleillés pour les fruits ! Il existe aussi les réseaux de producteurs qui vendent directement dans leurs magasins coopératifs : La nouvelle agriculture, Le Rheu Maraîchers, Coeur-Paysan, etc. La nourriture doit être achetée localement et être BIOLOGIQUE. C’est la garantie de consommer sans produits phytosanitaires (pesticides ou herbicides de synthèse) ni d’OGM (Organisme Génétiquement Modifié). Si un produit mentionne “huile de palme”, il doit être banni, comme pour les marques Ferrero et Nutella. Il n’existe pas en réalité de production durable de cette huile qui détruit des hectares de forêt vierge sur l’île de Bornéo et de Sumatra en Indonésie.

Faire réparer ses appareils

 

Lorsque votre appareil tombe en panne, cherchez à le réparer par vous-même en vous renseignant sur internet, auprès d’un réparateur ou auprès d’un atelier participatif. Les pannes sont souvent les mêmes, un composant, un ventilateur ou un contacteur. L’atelier participatif est sans doute là aussi le meilleur endroit pour faire votre réparation en électronique : ” atelier soudé “… Trouvez en près de chez vous, il y en a sûrement !

Se protéger de la publicité

 

Le monde publicitaire est directement lié à la surconsommation des hommes et des femmes. La publicité a pour seul objectif de faire vendre plus, même si la personne n’en a pas le besoin; le rôle est de persuader le consommateur qu’il lui manque ce produit pour son épanouissement. Le monde publicitaire attaque de tous côtés par la publicité papier, la publicité froide (radio) et la publicité chaude (télé, cinéma).

Solution simple 1 : Interdire la publicité gratuite en boîtes aux lettres. Interdire les flyers.

Solution simple 2 : Interdire les publicités sur les services publics.

Solution simple 3 : Rendre obligatoires les dispositifs anti-pub sur les radios et les téléviseurs. L’utilisateur peut choisir entre les activer ou pas.

L'huile de palme fait partie des pires industries. Son rendement est tellement important dans les pays tropicaux, comme sur l'île de Bornéo, que c'est devenu une culture "star". La Malaisie, l'Indonésie et le Brésil sont les principaux producteurs. Les cultures sont implantées sur les terres des forêts vierges (capteurs de CO2) qui sont rasées puis brûlées. Les sols qui étaient humides deviennent secs, et le méthane lié à la décomposition des matières organiques s'échappe dans l'atmosphère. Les orangs-outans sont brûlés vifs, abattus ou vendus comme animal de compagnie. Les sociétés telles que les chocolatiers (Groupe Ferrero, Nutella, M&Ms, ...), les savons, les glaces et le diesel sont les principaux utilisateurs de cette huile criminelle :

L'achat de produits pas chers dans les pays sous-développés lointains comme ici le Bangladesh a des conséquences désastreuses sur les écosystèmes. Ici un bras du Gange qui est devenu une décharge de plastiques, cette pollution est directement emmenée dans l'océan Indien. Les marques H&M, Zara, Carrefour, Benetton, C&A ou Kalvin Klein sous-traitent la fabrication de leurs vêtements dans des usines aux conditions de travail désastreuses (travail de mineurs, travail de 64 heures hebdomadaires, salaire de 8 euros hebdomadaires, normes de fabrications européennes non respectées, pollution, ...). En 2014, l'effondrement de l'usine à étages Rana Plaza avait fait 1134 morts. Acheter loin et dans des pays non préparés au respect de la planète est inconcevable :

LES PRINCIPAUX POLLUEURS

  • Les traités commerciaux inter-continentaux :

Les traités inter-continentaux favorisent les échanges de biens de consommation afin de créer des flux financiers. Ces biens sont très souvent totalement inutiles pour un pays car la population a déjà tout ce qu’il faut en produits de substitution. Créer un nouveau flux de produits (nouvelle offre) attise la demande, la consommation et la pollution. Aujourd’hui, 90% des marchandises sont transportées par voie maritime.

Chaque pays est capable de fournir localement sa population en biens essentiels; tout le reste peut être considéré comme secondaire.

  • Les GSM, Auchan, Carrefour, Leclerc, Casino :

La grande distribution est ce qui se fait de pire dans la vente de tout type de produits. La nourriture qui y est vendue et qui nourrit les Hommes et leur cerveau est la plus néfaste qu’il soit. Néfaste en qualité nutritive, néfaste en kilomètre alimentaire (en moyenne un fruit ou légume fait 10’000 km avant d’arriver sur l’étalage !), néfaste en pollution chimique des pesticides / herbicides / fongicides. Rappelons qu’ils sont en grande partie responsables de la destructions des forêts tropicales en vendant des produits utilisant de l’huile de palme (Ferrero / Nutella), des mangues, ou des produits très chargés en sucres.

  • Les États :

Les États et leurs dirigeants sont des fervents défenseurs de l’économie de marché ultra-libérale, où seul le consommateur est responsable de ce qu’il achète. Les industriels s’en donnent à cœur joie d’influencer les consommateurs par des actions marketing. Or l’État ne prend pas sa responsabilité d’interdire l’huile de palme dans tout aliment ou carburant, ou d’interdire le sucre dans les plats, friandises ou desserts. La présence de sucre rend addictif un produit; c’est ce point d’équilibre d’accoutumance que cherchent les industriels pour que le consommateur consomme de manière optimale leur boisson ou leur plat. L’Etat devrait interdire ces substances tirant vers le bas l’intellect de la population mondiale.

L’ESSENTIEL DES LIENS UTILES

La liste des acteurs locaux engagés dans la BIO, la vente directe, les écoles alternatives, … : Le mouvement Colibris.

Annuaire des magasins de producteurs en circuit court : Magasins de producteurs.

Vos déplacements à vélo passent par l’atelier participatif : L’heureux vélo.

LES RESPONSABILITÉS

Les distributeurs

Les consommateurs ne sont pas toujours les responsables, car ici on leur impose ce qu’ils doivent acheter : Essentiellement des produits pas chers (moins chers que le concurrent) et donnant le maximum de marge pour la distribution. L’environnement, le kilomètre alimentaire et les conditions de travail des travailleurs ne font pas partie des critères.

Les politiciens

Le politicien est au centre de ces dérives qu’il laisse aller au gré de l’économie de marché, de l’offre et de la demande. Comme si la réalité de la vie et des écosystèmes étaient une virtualité. Or, la vraie fiction est de croire que la monnaie inventée par l’Homme, la recherche et l’innovation auront la solution finale. Les écosystèmes sont très fragiles et lorsqu’ils tomberont, les Hommes tomberont aussi. Seuls le pragmatisme, l’humilité, le respect et la prudence sauront rassembler le maximum de personnes pour un projet commun, avec les politiciens en marge de ce mouvement.

INFORMATIONS SUR LES CIRCUITS COURTS ET LA POLLUTION MARITIME DES IMPORTATIONS

Les magasins en circuit court

LES MAGASINS EN CIRCUIT COURT

Pour améliorer vos achats de fruits et légumes, vous trouverez l’annuaire des magasins de producteurs sur ce site. Ici les producteurs ont une marge convenable sur leurs produits. En plus de ces magasins, vous pouvez aller dans les Biocoop, La Vie Claire, Naturalia, Azur Bio, … qui ont d’excellents produits garantis sans produits chimiques de traitement.

Graphique évolution pollution maritime

LA POLLUTION DU SECTEUR MARITIME

Le secteur maritime est un secteur quasi sans contraintes et où il est très facile de polluer.

Chaque navire marchand ou de croisière est autorisé à utiliser du fioul lourd. Le fioul lourd est, avec le charbon, responsable d’une pollution extrême de l’air dans les villes accueillant ces navires mais, pire encore, cela est une catastrophe pour la quantité de CO2 relâchée dans l’atmosphère ! Le charbon et le fioul lourd devraient être des substances interdites sur notre belle planète : Etude ADEME tableau 3 page 6.

Carte du réseau Slow Food

LE SLOW FOOD EN FRANCE ET DANS LE MONDE

La Slow Food est le contraire du Fast Food. Ce mouvement a pour objectif de promouvoir les produits locaux et des traditions. Le respect de la biodiversité est aussi au centre des préoccupations afin de respecter l’héritage du passé.

Vous trouverez sur cette carte, les différents acteurs du Slow Food. Si vous aussi, vous êtes un acteur du Slow Food, faites-le savoir !

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des transports se font par voie maritime
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navire
représente une pollution équivalente à 1 million de voitures
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kg/an
de produits textiles achetés en moyenne par 1 français