Ce début d’année 2020 aura été marqué par l’épidémie du COVID-19, alias Coronavirus, devenu en quelques semaines une pandémie. Le COVID-19 signifie : COrona VIrus, qui est un virus en forme de couronne. L’origine de l’épidémie proviendrait du marché d’animaux sauvages, parfois protégés, de la ville de Wuhan en Chine… ou, avec une plus forte probabilité, du laboratoire de virologie P4 “WIV1” de Wuhan ou d’un laboratoire de l’université de Caroline Chapel Hill… ou bien par un autre biais moins officiel ? Déjà en 2003, un SARS-COVID était apparu et eu un taux de létalité de 10%, avec 8098 cas dont 5327 en Chine. Le Coronavirus est donc connu. Connu depuis 1965, date de sa découverte, où il fut identifié comme le premier modèle virale réplicable !
Le Coronavirus-SARS est un virus de laboratoire malléable
Le Coronavirus existe sous forme naturelle : il provoque le rhume ou une gastro. Mais le Coronavirus-SARS de laboratoire est issu de laboratoires.
Le SRAS (SARS-CoV-1) et le COVID-19 (SARS-CoV-2) sont des virus cousins. Ils provoquent chez l’Homme un syndrome respiratoire aigu, la pneumonie. Les personnes ayant le plus de complications sont ceux de plus de 50 ans, présentant de l’obésité et prenant des anti-inflammatoires. Au fur et à mesure de la pandémie, les infections sont devenues des expériences de masse au détriment de la santé publique et de l’environnement.
Ce qu’on aura appris est que le virus circule très rapidement, qu’il est très infectieux. Certaines personnes, voir certaines ethnies, sont plus disposées à en mourir. Ce virus de laboratoire mute aussi très vite ! Aucun vaccin ne peut en venir à bout, et seul le virus disparait de lui-même à la fin de ses mutations.
Avec le recul, ici en juin 2023, il aura fallu quatre hiver pour arriver au bout des mutations. Il aura fait officiellement 8 millions de morts dans le monde, soit 0,1% de la population.
Historiquement, ce virus a été découvert en 1965 où il a été identifié et isolé comme les premier modèle virale réplicable, autrement dit, ce virus a le potentiel d’une arme biologique. Un travail commun entre le Royaume-Uni et les États-Unis a été réalisé en 1966 entre ces pays pour partager les données et étudier les effets sur l’être humain. Puis, des expérimentations ont été réalisées sur les chiens et les porcs dans les années 1975, ce qui posera des problèmes aux éleveurs. Pfizer développa donc un premier “vaccin” Spike en 1990 (dépôt de brevet), mais rapidement, ils constatèrent qu’il était inefficace.
Pourquoi est-il inefficace ? Ce Coronavirus modifié en laboratoire est par nature très malléable. Il se transforme donc très rapidement. Le vaccin développé trois mois avant est donc déjà obsolète ! C’est ce que nous avons constaté entre 2020 et 2023 avec la multitude de versions de “vaccins” dont il fallait faire un rappel tous les trois mois ! Ce “vaccin” était au aucun cas un vaccin. Les États, les laboratoires et les firmes pharmaceutiques ont empoisonné la population avec des substances et des manipulations génétiques dont eux seuls connaissent la nature. Personne ne connait les effets à long terme (10 ou 30 ans) de ces “vaccins” expérimentaux.
Toutes les études de 1990 à 2018 montrent que les vaccins ne fonctionnent pas sur le Coronavirus.
En 2002, un laboratoire de l’université de Caroline, Chapel Hill. a breveté en 2002 un clone infectieux de Coronavirus à “réplication défectueuse”. Rappelez-vous qu’en 2003, le SARS-CoV-1 était apparu avec un taux de létalité de 10%. Soit un an après le brevet de Chapel Hill.
Vous trouverez ici le brevet concernant le virus de la gastro-entérite transmissible (Coronavirus) : Brevet du laboratoire de Chapel Hill 2002.
Ce Coronavirus-SARS est destiné à attaquer spécifiquement l’être humain comme une arme biologique. En 2003, lors de la pandémie du SARS-CoV-1 qui a été provoquée volontairement.
Puis en avril 2003 le CDC (Centre pour le Contrôle des Maladies et de leur Prévention) a déposé un nouveau brevet le SARS-CoV-1. Suite à ce brevet une séquence du virus a été récupérée sur des chinois et breveté aux États-Unis. Malgré un refus par deux fois de l’USPTO (Office Américain des Brevets), le CDC a corrompu l’USPTO et le brevet a été accepté en 2007.
Le test PCR (RT-PCR) aura été développé à ce moment. La parfaite arme biologique était née : Le virus tue, il est hautement contaminant, la mondialisation permet une diffusion rapide, il meurt de lui-même et un test rapide existe pour connaître l’humain contaminé.
Parenthèse à ce sujet. Le non-dit derrière cette guerre biologique en-cours est la surpopulation mondiale, et la possibilité d’affaiblir et de tuer certaines ethnies afin de survivre sur cette planète. Certains tirent les ficelles de ce jeu en rendant les gens dociles et malléables intellectuellement : confinement, “vaccination” forcée, baisse de la qualité des contenus éducatifs, emprise du crédit financier sur la liberté de faire ou de décider (avoir un prêt limite votre liberté), peur des maladies et du terrorisme, réalité du réchauffement climatique, fausses démocraties (droit de vote blanc non pris en compte). Tous ces éléments permettent de contrôler la masse afin que les commanditaires (puissants et influant) atteignent leurs objectifs finaux, au risque que eux-mêmes se mettent en danger le cas échéant. Le CO2 atmosphérique est un danger environnemental, climatique, et aussi de pouvoir respirer un air sain (sans acidification du sang par augmentation du pH) si le taux de ppm est contenu sous 400 (ce qui n’est pas le cas) et en tous cas dessous 600 ppm pour des raisons de santé (mentale, cognitive, artérielle, cardio-vasculaire, de cancer, …).
En 2016, le WIV1 de Wuhan était prêt pour expérimenter la libération du SARS-CoV-2 dans le cadre d’une expérience. Si bien qu’en avril 2019, les termes de “il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire” est entrée de manière courante dans le langage de la communauté scientifique. Le laboratoire Moderna modifiera son brevet afin d’intégrer ces termes pour justifier la fabrication d’un vaccin pour une pandémie qui n’existait pas encore…
En septembre 2019, le monde a été informé qu’il y aurait “une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire”, pour qu’en septembre 2020 il y ait une acceptation de la population d’un vaccin universel. Le Coronavirus leur permettrait cela. Ainsi, environ 70% de la population des pays développés a été “vaccinée” avec un produit qui n’a rien d’un vaccin. Certaines personnes ont reçu un total de quatre doses espacées de trois mois ! …pour certains, la menace de licenciement a été brandie afin de les piquer malgré eux. Il aura été prouvé au fil de l’expérimentation vaccinale des laboratoires à l’échelle mondiale, avec la complicité des États, qu’obtenir une immunité naturelle au virus était plus efficace pour construire son immunité, et bien moins dangereux, que la piqure dont les effets secondaires étaient multiples !
L’objectif des laboratoires a été de tirer à profit le maximum du battage médiatique afin d’obtenir le maximum de fonds publics ou privés, Les investisseurs réagiront positivement s’ils voient un bénéfice à la fin du processus. Clairement, la préméditation de la libération du virus n’a rien à voir avec un processus de santé publique. Les investisseurs privés doivent être interdits et exclus de la science.
Le Dr David Martin de l’Université de Virginie expose lors de du sommet “COVID Summit 3” le 9 mai 2023 (organisé par des parlementaires au Parlement Européen) l’historique du Coronavirus-SARS et du détournement de la science à des fins privés :
L’évolution d’une pandémie en nombre de personnes infectées
En mars 2020 208’000 humains sur toute la planète (le 19/03/2020).
Cette pandémie évolue de manière exponentielle sur tout les continents, avec un taux de létalité de 4,2%
Le mécanisme menant de l’épidémie à la pandémie
Dans ce monde mondialisé, le mouvement intercontinental des marchandises et des hommes est un problème très sérieux. D’une certaine manière, l’Homme est en train de créer une nouvelle Pangée, cette vaste terre qui regroupait jadis tous les continents avant leur séparation. Tous ces flux relient désormais les continents en échangeant les espèces invasives et les maladies.
Au niveau de la biodiversité, il existe de nombreux exemples à cette dérive économiste. Lorsqu’on transfert d’un continent à un autre une espèce qui se retrouve sans prédation dans son nouveau lieu d’implantation, alors comme pour le frelon asiatique, il devient invasif. Cette espèce est capable de tuer et de déstabiliser tout un écosystème.
Les virus suivent le même chemin que les marchandises et l’Homme : les transports aériens, terrestres et maritimes. Pour les contaminations intercontinentales, les transports aériens sont les premiers responsables. En l’espace de 10 ou 20 heures de vol, un virus arrive sur un nouveau continent où il est disséminé petit à petit au fin fond d’un pays. Cet espace-temps est ultra court quand on sait que plus de 10’000 avions volent dans le ciel tous les jours.
Un touriste américain revenant de Chine contaminera au moins 3 personnes dans l’aéroport, puis dans l’avion, puis dans l’aéroport de destination. Dans ce dernier, de nouveaux voyageurs contaminés s’envoleront vers l’Europe, etc.
Le SRAS était en 2003 cantonné à 66% à la Chine qui en était l’origine. Grâce au tourisme de masse et à l’explosion du trafic aérien, c’est 61% des cas qui sont hors de Chine.
D’autres facteurs auront influencé ce chiffre, il ne faut pas oublier que les chinois voyagent de plus en plus depuis les années 2010, ce qui a accru la pandémie de la Chine vers l’étranger.
Les transports aériens ont donc de nombreux défauts :
– accélérer la propagation des virus ;
– déstabiliser les écosystèmes par le transfert d’espèces invasives, non endémiques aux territoires ;
– de polluer la haute atmosphère (stratosphère) durablement en déposant des gaz à effet de serre ;
– ne pas être indispensable au processus de la vie. C’est-à-dire que dans notre monde moderne, on peut s’en passer.
L’expansion inarrêtable du secteur aéronautique doit être fortement compressé et revenir à un trafic passager équivalent à celui de 1980. Le tourisme de masse pourrait alors devenir un tourisme à quota où ceux qui souhaitent voyager seront tirés au sort. Chacun aurait alors sa chance de voyager, qu’il soit riche ou pauvre.
Un transfert de budget pourrait alors s’opérer, si on le décide, en finançant les projets durables de leur conception à leur fin de vie. Donc, financer largement des entreprises vertes et les ONG qui se battent contre le changement climatique et pour la protection de l’environnement. Une nouvelle économie serait alors créée et où l’équité sociale serait respectée.
Le réchauffement climatique engendrera des pandémies inédites
Le réchauffement climatique, créé par l’Homme et ses activités, aura dans les années qui viennent des conséquences inédites. Le COVID-19 est un virus connu de laboratoire. Mais de nouveaux apparaitront, naturels ou manipulés en laboratoire, sous des formes incurables et dont la contamination sera très volatile dans l’air.
Les conséquences du réchauffement mondial a un impact très fort sur les zones au delà des cercles polaires. Là-bas sont enterrés des virus très anciens pouvant dater de plusieurs milliers d’années. Ils sont aujourd’hui encore conservés dans la glace, mais le réchauffement de la planète va libérer tous ces virus inconnus de l’Homme moderne.
L’exemple le plus pertinent est la contamination des Amérindiens par l’Homme européen lorsqu’il est arrivé sur leur territoire de manière invasive. Les Autochtones ont été confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés sur leur continent. Leur population a été décimée car leur métabolisme n’a pas pu répondre à cette attaque virale.
Dans les terres gelées, ces nouveaux virus attaqueront l’Homme. Aucun individu de notre espèce sur la planète n’aura de parade auto-immune pour se défendre.
Sur la période 1918 – 1920, la grippe dite espagnole (H1N1), qui serait en fait originaire du Kansas (Etats-Unis) a été un virus très virulent. Il aurait fait jusqu’à 100 millions de morts dans le monde. Ce virus est pourtant encore présent dans les cimetières des pays proches du cercle arctique. Il suffirait que leur tombe dégèle pour libérer à nouveau ce virus…
Le danger est donc bien présent. Il aura dans les années qui viennent, on ne parle pas de décennies, des formes très inédites.
Les gouvernements décident le confinement pour éviter la propagation du virus, et aussi malgré eux, pour protéger le climat de 2020
Les actions décidées à la COP21 de Paris pour la sauvegarde du climat et surtout de la viabilité de notre planète Terre devaient se mettre en application dès 2020, dans l’objectif de voir une inversion de la courbe de la pollution dès 2025. Cet objectif trop audacieux pour les gouvernements suivait la trajectoire du zéro changement et non du zéro carbone.
Face à la pandémie, le gouvernement chinois a décidé le premier le confinement du foyer du virus. Puis, le nord de l’Italie, la France, … En Europe, seul le Royaume-Uni n’a pris aucunes mesures, arguant l’immunité collective. Les Pays-Bas eux ont fermé seulement les lieux publics et ont exclu le confinement total de la population. Quasiment tout le Monde s’est confiné et a fermé ses frontières en deux mois. Malgré les décès prématurés qu’on peut que déplorer, le COVID-19 aura le mérite d’être l’élément déclencheur de la décroissance et de la dépollution de la planète avec une rapidité inattendue.
On observe aussi en Europe le même effet, même si les mesures de confinement et d’arrêt des entreprises ont été moins claires :
L’arrêt des économies a eu un impact direct sur les places boursières, avec un krach boursier et l’explosion de la bulle spéculative :
Face à la mondialisation, il faut réussir à se dé-mondialiser. Cette solution pérenne offre une meilleure stabilité aux activités humaines, une meilleure protection à la biodiversité. Les distances entre un fournisseur et un client se réduiraient. Les pollutions et les contaminations seraient mieux maîtrisées. La confiance entre les acteurs serait meilleure, et le tissu économique serait plus fort, plus résilient. Le tourisme devra être aussi plus local et intracontinental.
La pandémie sera, nous l’espérons, la prise de conscience collective pour la protection de la Terre. L’Homme fait partie de la Biodiversité, il est autant vulnérable qu’elle, prenons-en soin.
Cette dé-mondialisation et décroissance ne seront possibles que par une prise de conscience des individus d’en bas. Le challenge est que ces individus puissent se détacher de l’emprise des médias, des politiques, des religions et des firmes industrielles qui les modèlent à leur façon pour optimiser leurs profits et défendre leurs intérêts. L’effort principal pour desserrer l’étau doit être fait par la décroissance naturelle de la population par l’information de masse : un enfant par homme ou femme. Ainsi, les gens d’en haut verront s’échapper leur emprise et leur Graal de croissance infinie, impossible dans un monde fini.
Le COVID de laboratoire démontre bien que nous sommes globalement manipulés, et que la majorité de la population est soumise.